PDF PartagÃ©e par les gilets jaunes Sexe Ã plusieurs premiÃ¨re fois MMMF Tabou French Edition edition by Vanessa Desirius Literature Fiction eBooks

Download As PDF : PartagÃ©e par les gilets jaunes Sexe Ã plusieurs premiÃ¨re fois MMMF Tabou French Edition edition by Vanessa Desirius Literature Fiction eBooks

Download PDF PartagÃ©e par les gilets jaunes Sexe Ã plusieurs premiÃ¨re fois MMMF Tabou French Edition edition by Vanessa Desirius Literature Fiction eBooks

Jessica, la belle journaliste de 25 ans, n’a pas le choix elle doit absolument couvrir la manifestation -acte 22 - des gilets jaunes pour sauver son journal de la faillite. Mais la perspective de côtoyer des gilets jaunes décérébrés, dégueulasses et pervers ne l’enchante guère. Cependant, lorsqu'elle réussit enfin à s’infiltrer sur un rond-point, elle découvre trois frères qui pourraient bien lui faire changer d’avis sur le mouvement. La virginité de Jessica sera-t-elle mise à mal par les gilets jaunes ?
Nombre de pages effectives 26
Extrait
« Non mais tu te fous de ma gueule ? Si tu crois que je vais suivre cette bande de dégénérés toute la journée, tu te fous le doigt dans l’œil ! »
« Écoute Samantha ! Tu n’as pas vraiment le choix. Le journal est en plein déficit, et il faut absolument qu’on suive la manifestation des gilets jaunes Tu iras samedi prochain suivre l’acte 22 sur les Champs Élysées. Et ce n’est pas négociable ! »
Putain ! Ça fait cinq ans que je bosse dans ce journal, et depuis tout ce temps, je n’ai toujours pas mon mot à dire sur les événements que j’ai envie de suivre. Mais cette fois-ci, c’est pire que tout, je vais être obligée de faire un reportage sur les gilets jaunes et il va falloir que j’en suive quelques-uns tout au long de la journée, voire même peut-être pendant toute une semaine. Je suis vraiment dégoûtée. À la base, je voulais être journaliste de mode. J’adore m’habiller, et suivre tous les défilés pendant la Fashion Week.
Aurore me répond que ce serait la personne idéale et me file son numéro de téléphone sans hésiter. Après quelques banalités avec mon amie, je raccroche et j’appelle immédiatement le plombier.
Par chance,… ou pas, il est d’accord pour me voir pour que nous puissions parler de mon projet. Mais au fond de moi, je pense plutôt qu’il est tellement content qu’une fille veuille bien lui parler qu’il est prêt à dire n’importe quoi pour me rencontrer. De toute façon, je n’ai pas le choix, c’est la seule piste que j’ai.
Il m’a donné rendez-vous chez lui et cela ne me rassure pas trop mais je prends mon courage à deux mains et je me pointe dans sa ville de banlieue miteuse. J’arrive devant un pavillon délabré dont le portail ne tient que par un bout de fil de fer. Je sonne et un homme moustachu et bedonnant se présente à la porte d’entrée. Il porte un Marcel blanc recouvert de taches de vin et de café. Il me sourit laissant apparaître une rangée de dents jaunes mal alignées. Au moins, il lui en reste me dis-je avec ironie !
« Entrez ma belle ! Vous allez attraper froid. Venez-vous réchauffer à l’intérieur je vais vous faire un bon café. Il vous faut quelques chose de chaud dans le bas-ventre» Me dit-il avec un clin d’œil pour souligner sont allusion graveleuse.
Après quelques banalités d’usage et en essayant de respirer au maximum par la bouche pour ne de pas sentir l’odeur pestilentielle qui règne dans cette baraque, je sors et je retrouve enfin un air un peu plus pur. En marchant pour rejoindre la voiture, je fais le point sur cette journée d’abord mon patron me donne une mission de merde, puis je rencontre le plus beauf des plombiers et enfin, il va falloir que je me gèle sur un rond-point pour recueillir le témoignage de gilets jaunes décérébrés.
Je pense que la journée a été très longue et je mérite de rentrer chez moi pour me faire un bon bain chaud J’ai l’impression que l’odeur de cette maison c’est imprégnée dans mes vêtements et sur ma peau.
Je dépose ensuite une bonne noix de savon liquide sur la paume de ma main. Je commence alors à caresser mon cou puis assez rapidement, je descends vers mes seins. Je passe délicatement mes mains sur mes tétons, puis je commence à faire quelques mouvements circulaires de plus en plus rapides afin que les bouts durcissent. J’attrape alors mes mamelons entre mon pouce et mon index pour les pincer gentiment.
Chaque petite pression me fait soupirer de plaisir. J’imagine qu’un homme me mordille le bout des seins